Les récentes élections législatives, régionales et locales au Maroc qui se sont déroulées le 8 septembre 2021, ont constitué de l’avis du plus grand nombre un succès démocratique, permettant notamment une alternance politique parlementaire claire et pacifique. Dans les provinces du sud marocain, celles du Sahara, décolonisées en 1975 à la faveur de l’Accord de Madrid, la participation à ces élections a été très significative.
Pour être représenté, il faut avoir le choix de sa représentation car celle-ci ne peut pas être imposée et encore moins décrétée. Il me semble primordial de souligner que la revendication par le Royaume du Maroc de son Sahara est ancienne et constante. Elle s’est faite à deux niveaux sur le plan international et national.
La suspension, voire l'expulsion, de la "rasd", un groupe armé qui n'a pas les attributs d'un Etat souverain, de l'Union africaine (UA) ne doit pas être considérée comme un tabou ou un objectif irréalisable, ont estimé mardi les participants à un séminaire tenu à Accra sous le thème "L'impératif de la relance économique : Comment la résolution de la question du Sahara peut-elle renforcer l'intégration régionale et continentale de l'Afrique".
Le Bureau du Protocole des Nations Unies a rapidement supprimé le "polisario" de son répertoire des missions permanentes à New York, après qu'un problème informatique ait brièvement inclus le groupe séparatiste dans cette liste.
Le Bureau du Protocole a présenté ses excuses pour cette "grave erreur", et a immédiatement pris des mesures pour corriger le problème.
En tant que groupe armé non étatique, le "polisario" n'a aucun statut officiel auprès des Nations unies, qui ne comptent que des États membres.
Le parlement européen vient d’adopter, jeudi 10 juin dans l’après-midi, une résolution contre le Maroc au sujet de la soi-disant « violation de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant et l’instrumentalisation des mineurs par les autorités marocaines dans la crise migrato
Après avoir quitté le territoire espagnol tôt mercredi matin aussi clandestinement qu’à son arrivé d'Algérie - en complicité avec le gouvernement espagnol - le chef d'une milice séparatiste, Brahim Ghali, fait l'objet d'une enquête pour être entré dans ce pays à la mi-avril avec une fausse identité et de faux documents.
Brahim Ghali, le leader autoproclamé de l’organisation « polisario », un mouvement séparatiste visant à acquérir par la force l’indépendance du Royaume du Maroc, a été accepté pour traitement à l’hôpital sur le sol espagnol, selon le gouvernement du Maroc, arrivant sous un faux nom et avec un faux passeport diplomatique algérien.
C’est avec indignation que j’ai appris, à l’instar de toutes les femmes sahraouies, l’admission du criminel de guerre Brahim Ghali, sous une fausse identité et avec de faux documents de voyage remis par l’Algérie, sur le territoire espagnol.