Nous, universitaires, avocats, journalistes, et acteurs associatifs membres de la Plateforme Internationale de Défense et de Soutien au Sahara marocain, au nombre de 3000 personnes représentant 155 pays,
Le phénomène d’enrôlement d’enfants soldats par le Polisario sous la supervision de l’armée algérienne, tant dénoncé par les organisations internationales notamment l’ONU, s’est invité au Parlement européen à travers une question –avec demande de réponse écrite – adressée par un groupe d’eurodéputés au Haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, Joseph Borrell.
Un groupe d’eurodéputés a adressé une question – avec demande de réponse écrite- au Haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, Joseph Borrell, sur un phénomène dénoncé à plusieurs reprises par les organisations internationales, y compris l’ONU : celui de l’enrôlement d’enfants soldats par le polisario, sous la supervision de l’armée algérienne.
A la fin de 2020, les Etats-Unis ont reconnu légalement la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, et ont affirmé que l’initiative marocaine d’autonomie est la seule base pour une solution réaliste, sérieuse et crédible au différend régional sur le territoire. Depuis son achèvement, les critiques de la reconnaissance américaine sont apparues en force : certains ont dit que cette décision piétine les droits du peuple sahraoui qui vit au Sahara occidental, et ils ont appelé l’administration Biden à l’annuler.
La récente décision de la Haute Cour de justice est une nouvelle victoire pour les Provinces du Sud du Maroc, écrit le Dr. Aymeric Chauprade.
Le 15 mars, la Haute Cour de justice de Nouvelle-Zélande a rendu sa décision à la suite d’une action en justice engagée l’année dernière par deux membres du mouvement séparatiste du Polisario.
Un contentieux d’un autre âge, dont on pouvait penser qu’il n’avait plus de racines vivantes depuis la fin de la guerre froide, est en cours devant le tribunal de l’Union européenne. Il concerne le Sahara occidental, c’est à dire le Sahara marocain et l’accord de pêche UE-Maroc. Il est le fait d’un groupe mercenaire dénommé « polisario », qui, bien que n’ayant aucune reconnaissance des Nations-Unies, prétend représenter fallacieusement la population de cette région.
Tout le monde suit avec étonnement et tristesse les dérives qui s’emparent du champ politique et médiatique en Algérie, affirme l’éditeur et journaliste Mohamed Berrada, soulignant qu’aucune expression ne peut justement décrire la réalité et l’ampleur de cet état de confusion qui y sévit.
En mal de repères, le champ politique officiel en Algérie est passé d’un état de débandade et de laisser-aller intellectuel pour s’engouffrer dans la décadence morale en cultivant de la rancune pour un pays voisin et frère qui est le Maroc, relève M. Berrada dans une déclaration à la MAP.
Le "polisario" est un danger "imminent" aux portes de l’Europe et les pays européens s’intéressent particulièrement à la menace que représente cette "entité" surtout avec "les connexions qu'il peut y avoir dans la bande sahélo-saharienne", affirme Emmanuel Dupuy, président de l'Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE), un Think tank spécialisé dans les questions de géopolitique et géostratégie, basé à Paris.