Appel au Terrorisme dans les Camps du Tindouf : Le Polisario Sème l'Effroi

Lors d'un rassemblement le 28 avril dernier dans les camps du Tindouf, une déclaration choquante a émergé, jetant une ombre sinistre sur la stabilité de la région. Bachir Mustapha Sayed, membre du soi-disant secrétariat national du Polisario, a lancé un appel infâme aux sympathisants du mouvement séparatiste, les incitant à perpétrer des attaques terroristes dans les villes de Laayoune, Smara et Boujdour.
L'individu en question aurait affirmé sa disponibilité à fournir les explosifs nécessaires pour commettre de tels actes criminels afin de « déstabiliser l’ennemi et ouvrir des nouveaux fronts » selon lui.
Cette déclaration, non seulement choquante, mais également révélatrice des intentions sombres du Polisario, met en lumière le danger imminent que représente ce groupe pour la sécurité et la stabilité de la région.
Cette rhétorique belliqueuse, loin d'être une stratégie viable, est plutôt perçue comme le cri de désespoir d'une entité en déroute. La défaite militaire du Polisario face à l'armée marocaine, ainsi que l'impuissance de ses milices de mener une seule vraie attaque après 3 ans de violations de cessez-le-feu, ont entraîné une montée de la frustration et de l'agressivité au sein de ses rangs. Incapable de rivaliser sur le plan militaire, le Polisario semble maintenant recourir à des tactiques de terreur pour tenter de maintenir sa présence dans la région.
En outre, le Polisario a été accusé à plusieurs reprises de recourir à des tactiques terroristes, y compris le recrutement d'enfants soldats et le détournement de l'aide humanitaire à des fins militaires. Ces actes barbares témoignent d'un mépris flagrant pour la vie humaine et sapent les efforts visant à parvenir à une résolution pacifique du conflit au Sahara occidental.
Cet appel au terrorisme n'est malheureusement pas un incident isolé. Il rappelle douloureusement une série d'actes terroristes perpétrés par le Polisario par le passé. Parmi ces actes abominables, on compte notamment le crime de Gdim Izik, qui a coûté la vie à 11 membres des forces de sécurité marocaines et a blessé de nombreux civils innocents, ou aussi les attaques meurtrières contre 300 pécheurs espagnols dans les iles Canaries. 
Face à cette menace persistante, il est impératif que la communauté internationale condamne fermement de tels appels au terrorisme et prenne des mesures concrètes pour empêcher le Polisario de semer le chaos et la terreur dans la région. La sécurité et la stabilité de l’Afrique du Nord ne peuvent être compromises par les actions irresponsables d'un groupe terroriste déterminé à réaliser ses objectifs séparatistes à tout prix.