L’importance des énergies vertes, la recherche des équilibres biologiques, la création de filières de formations pratiques et appropriées à ces objectifs s’inscrivent dans la Charte onusienne, souligne Hubert Seillan, dans une analyse intitulée "le contexte géopolitique du Sahara marocain".
Une rencontre sur le projet d’autonomie présenté par le Maroc pour régler définitivement le différend artificiel autour du Sahara marocain a été organisée, samedi à Nancy (nord-est de la France).
Cette rencontre, initiée par l’Association sahraouie pour le projet d’autonomie et le développement durable (ASSPADD), a été marquée par une série d’activités, dont une exposition de l’artisanat des provinces du sud et une conférence-débat.
La délégation américaine à la 51ème session du Conseil des Droits de l’Homme à Genève, ainsi que plusieurs ONGs, ont interpellé l’Algérie sur la situation extrêmement inquiétante des droits de l’homme dans le pays, les violations massives des droits des populations séquestrées dans les camps de Tindouf et le refus de l'État algérien d'assumer ses responsabilités légales et mettre fin aux crimes odieux, malgré les constats et les appels répétés des mécanismes du Haut-commissariat aux Droits de l’Homme.
Une bonne compréhension de la question du Sahara nécessite une approche holistique en raison de la myriade de problèmes qui la définissent :
Sur le plan historique, le différend sur le Sahara marocain n’est pas une question de soi-disant décolonisation comme tend à l’affirmer faussement l’Algérie, c’est une question postcoloniale héritée de guerre froide et qui plus est, existentielle pour le peuple marocain.
Le recours à l’histoire revèle l’existence formelle du « Grand Maroc » que la colonisation protéiforme a tenté de déconstruire en y laissant des flétrissures plurielles, accentuées par l’ordre colonial français et espagnol.
Sur le terrain, la région du sud connaît un développement socioéconomique sans précédent, dans le cadre du Nouveau Modèle de Développement pour le Sahara marocain lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, avec une enveloppe budgétaire de 8 milliards de dollars.